À la fois Anglaise et Française, Charlotte Lance est une âme entre deux langues et deux nations. À la croisée de ses deux cultures, elle jongle avec les mots et marche sur le fil de la pensée des autres. Tout en flexibilité, elle comprend les personnes et leurs enjeux, sans les juger. Axer sans vexer, discrète et sereine, Charlotte écoute, observe les univers, cherche l’impact, mais en mesure. Entre flegme et second degré, elle se veut politiquement correcte et ferme à la fois.
Derrière la brume anglaise, se cache aussi le soleil de l’Italie. Quatre ans d’expatriation la plongent dans un autre milieu, et une troisième langue dont elle parcourt les ornières avec patience et ténacité, jusqu’à la maîtriser. Revenue en France, Charlotte effleure la gastronomie et l’hôtellerie, mais c’est dans la filière équine – car Charlotte monte aussi à cheval – qu’elle commence à tracer son sillon.
Communiquer pour les autres, c’est sa voie ! « Je me mets au service de ceux qui n’ont pas le temps d’écrire, ou qui n’ont pas la motivation pour le faire. » Décidée à perfectionner son art, elle travaille pendant quatre ans dans une agence de conseil en communication et relations presse.
Puis, indépendante par nature, et porteuse d’un tour de main unique, elle décide de se mettre à son compte. Aujourd’hui, ses connaissances appuient sur les touches de la communication éditoriale (articles, tribunes, éditos, etc.) et des relations presse. Sa sensibilité lui permet de se mettre à la place des autres, de cerner leurs idées, de comprendre leur métier.
Le regard de Charlotte se pose sur divers secteurs, s’emparant de leurs problématiques et de leurs innovations. Toujours un pied entre deux univers, Charlotte connaît aussi bien la ville que la campagne. Née dans la région parisienne, elle en apprécie les charmes et les ambigüités, et si elle met à profit ses compétences dans l’industrie, le recyclage, l’expertise comptable, les milieux hippiques, etc., c’est surtout dans le domaine forestier qu’elle investit actuellement son savoir-faire, notamment la revue « Forêts de France ». Et, proche de la nature, elle aime arpenter les chemins, accompagnée de ses chiens, la main toujours proche des chevaux…
La Guilde des plumes lui a fait réaliser qu’être plume est un métier large et multiple. Elle y a découvert le partage d’expériences et la confraternité.
Portrait réalisé par Lauréline Lesselingue